Le nom de Bakary Samake continue de faire les gros titres, sur fond de révélations embarrassantes qui s’enchaînent à un rythme soutenu. Une seconde séquence intime, apparue sur les réseaux dans la nuit de lundi à mardi 15 juillet, vient relancer l’affaire déjà très médiatisée.
Cette fois, la scène se déroule à l’intérieur d’un véhicule, dans une situation explicitement sexuelle (fellation). Contrairement à la première vidéo, filmée dans un cadre plus ambigu, celle-ci ne laisse planer aucun doute sur la nature de l’acte ni sur la solitude du boxeur avec la jeune femme. Le contexte et le cadrage laissent peu de place à l’interprétation, et la diffusion virale du contenu a rapidement relancé les spéculations.
Sur les plateformes sociales, les réactions s’emballent. Tandis que certains ironisent sur le boxeur, d’autres y voient les indices d’une manipulation organisée. La piste d’un stratagème, voire d’un dossier monté pour nuire à sa carrière, commence à prendre de l’ampleur, alimentée par les incohérences perçues entre les deux enregistrements, et le timing de leurs publications.

Dans l’entourage sportif comme dans le grand public, l’incertitude règne quant à la suite des événements. Le scénario d’un piège ourdi, mêlant vie privée et exposition publique, alimente la chronique. Si le sportif n’a pas réagi depuis son premier message officiel, la pression médiatique et numérique, elle, ne faiblit pas.
Dans ce climat, Bakary Samake garde le silence depuis son premier communiqué. Aucun nouveau message n’a été publié pour l’instant, ni de la part de son entourage, ni de ses représentants légaux. Mais des sources proches évoquent une volonté de déposer plainte et de confier l’affaire à la justice. Le boxeur chercherait à identifier la ou les personnes responsables de la diffusion.
Sur le plan sportif, l’incertitude gagne du terrain. Avec plusieurs victoires et une ascension rapide, Bakary Samake incarnait jusqu’ici une promesse du ring. Mais ces révélations pourraient compromettre sa relation avec certains sponsors et bouleverser son calendrier de compétitions. Pour l’instant, aucune sanction n’a été annoncée, mais le climat devient plus pesant.
La possibilité qu’une troisième vidéo voie le jour est désormais sur toutes les lèvres. Le format des deux premières fuites, leur mise en ligne espacée, et l’absence de revendication nourrissent l’idée d’un piège bien plus structuré qu’une simple erreur de jugement. L’hypothèse d’une machination prend corps, sans qu’aucune preuve ne vienne encore l’attester.

