Depuis que les déboires de P.Diddy font couler beaucoup d’encre dans la presse américaine, 50cent (Curtis Jackson) s’enjaille et en profite pour réaliser un coup de maître.
On connait surtout 50cent pour son Gangsta rap qui s’est coloré année après année, pour devenir plus sucré et séduire un public plus large. Après avoir squatté les sommets des charts mondiaux avec des titres comme In da club et Window Shopper, l’artiste a pris un coup de vieux mais reste une légende incontestée que même les cadors new-yorkais redoutent.
Fifty Cent est un homme d’affaires à succès.
Il a signé “Power“, l’une des meilleures séries télévisées urbaines de tous les temps, et l’a décliné en plusieurs univers appelés “Book”.
Le show raconte les déboires du directeur de club James Saint-Patrick alias Ghost (Omari Hardwick), et son éternel ami Tommy Egan (Joseph Sikora), dans un décor new-yorkais infesté de truands sans vergogne.
Aux dernières nouvelles, le documentaire que prépare Fifty Cent pour révéler des informations choques sur P.Diddy fait trembler tout l’écosystème audiovisuel, et c’est finalement Netflix qui aurait remporté la course à l’exclusivité.
Les américains sont extrêmement friands des histoires de célébrités qui se retrouvent dans la mouise jusqu’au cou, et les médias n’hésitent pas à distiller les nouvelles jusqu’à ce que la justice prononce son verdict.
50cent, c’est aussi le “Booba” des américains.
A la manière de notre Élie Yaffa bien-aimé, Curtis Jackson n’a aucun scrupule à amuser les internautes en utilisant des montages, et en harcelant directement ses victimes pour les faire trembler.
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